Tuesday 1 November 2011

[Tournoi] Lallaing Halloween 2011 - Part II

Après être parti soigné mes saignements de nez du à l’absorption du café de White, une nouveau challenger apparait au tour 2. Je me dis que je le connais, que je l'ai déjà vu quelque part (à la télé? dans un back-room?). Hum, je ne suis plus très sur, je suis un vieil homme voyez vous, ma mémoire n'est plus tres sure. Enfin bon le voilà, c'est lui, le superbe Darkshenker qui s'appelle en vrai Francois-Xavier (et ça, très peu de gens le sait).




MATCH 2 - OUTFLANK etc 50 PTS

Fourbe que je suis, j'avais mandaté quelques espions pour superviser les parties de FX et ses cochons sur Vassal la semaine précédant le tournoi et j'avais religieusement épluché les rapports et les notes relatant les exploits de ses petits gorets. Grand bien m'en pris, car je faisais le choix judicieux de lui opposer le chauve Krueger et son petit peuple de la forêt.

Après avoir rappelé à l'ordre le Seigneur du Festin, parti sur le côté se gaver de charcuterie, qu'il fallait en garder un peu pour les copains, les Druides constatèrent lors de leur partie de pêche dans l'Escaut qu'on prenait décidément n'importe quoi dans ses eaux lorsqu'ils remontèrent un gros War Hog dans leurs filets. Le Stalker, hélas peu partageur, violenta l'infortuné dans une cacophonie de gruikkks et de rauques fauves, préfaçant un spectacle remarquable qui se termina fin de tour 4 lorsque je marquais un 3ème point de contrôle et une quasi-table rase des deux côtés.

(Pour vous récompenser de votre attention, une photo d'un des joueurs, saurez vous mettre un nom sur ce doux visage?)

Pendant ce temps, dans la Team Brussels, l'hilarité se mêle à la consternation. Dans un duel fraticide, Nico est défait par son Padawan Arnaud, dont je décide de suivre la carrière avec beaucoup d’intérêt. J'en profite pour renier Nico, qui pourtant était un élément prometteur et qui jouait une liste Harbinger sale à souhait.




A côté, dans la salle de muscu, un terrible drame se joue. Je surprends Pip les mains dans une boite de Dreadfleet. Je me demande si je dois l'euthanasier sur le champs, mais je me rappelle que j'ai moi même acheté une boite pour mon fils quelques jours auparavant. La raison l'emporte finalement sur l'émotion, et je range dans sa boîte mon silencieux avant de blesser quelqu'un.

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